Le suspect de la fusillade au Napoleon Casino de Genk arrêté en Espagne
Une action de recherche internationale a été menée concernant l’affaire de la fusillade au Casino Napoléon à Genk en octobre dernier. Cela s’est terminé la semaine dernière avec l’arrestation réussie en Espagne d’un homme de 43 ans soupçonné d’être impliqué dans l’incident. Cela a été réalisé grâce à une opération conjointe entre la police belge et espagnole.
Fusillade au Napoleon Casino à Genk
Les événements en question ont eu lieu dans la nuit du 8 au 9 octobre 2023, près du Napoleon Casino à Genk, où des coups de feu ont été tirés.
Les résidents locaux ont été témoins de l’incident et ont décrit deux détonations, suivies par le crissement des pneus d’une voiture qui s’éloignait. Les détectives ont rapidement identifié un homme de 43 ans de Genk comme le principal suspect. Les perquisitions domiciliaires n’ont rien donné et il s’est avéré plus tard que le fugitif s’était déjà enfui à l’étranger, déclenchant une chasse à l’homme internationale.
Le suspect se cachait
Le suspect, dont l’identité n’a pas été divulguée, a été arrêté dans la région d’Alicante, en Espagne, après avoir fui la Belgique. L’arrestation a eu lieu le 22 novembre 2023, mettant fin à une chasse de plus d’un mois.
En collaboration avec les autorités espagnoles, la police belge a réussi à localiser et à arrêter le suspect dans la région d’Alicante. Actuellement, la Belgique travaille à finaliser les procédures d’extradition pour ramener la personne devant la justice belge. Le ministère public du Limbourg et la police Carma, responsables de la région de Genk, sont sur l’affaire.
Attaque au couteau et fausse alerte à la bombe
Ce n’est pas la première fois que différentes chaînes de Napoleon Games sont impliquées dans des incidents. Récemment, un établissement à Saint-Trond a été le théâtre d’une attaque au couteau en légitime défense, où un homme roumain a été poignardé. Il a depuis été déclaré hors de danger.
De plus, le siège de Napoleon Games a été ébranlé par une fausse alerte à la bombe en septembre. L’appel menaçant s’est avéré être une blague déplacée d’un client ayant subi de lourdes pertes.