Les dernières nouvelles du monde des Casinos !
Gambling club casino news meta whatsapp facebook instagram

Les jeux d’argent illégaux continuent de prospérer sur les réseaux sociaux

Vincent van ‘t Riet, conseiller stratégique et directeur du marketing chez ZEturf, a une fois de plus tiré la sonnette d’alarme sur le problème croissant des jeux d’argent illégaux sur les réseaux sociaux. M. van ‘t Riet est connu pour ses efforts dans la lutte contre les jeux d’argent illégaux.

Dans un message publié sur LinkedIn, il a fait part de ses inquiétudes concernant des plateformes telles qu’Instagram et Facebook, qui, selon lui, offrent toujours un espace pour les pratiques de jeu illégales, y compris les matchs truqués.

«C’est de plus en plus fou. En plus des innombrables sites de jeux illégaux sur mon fil Instagram, je vois maintenant aussi des publicités de truqueurs de matchs.»

Vincent van ‘t Riet

Il souligne que ces publicités sont souvent présentées de manière astucieuse, ce qui leur permet de passer inaperçues des autorités de régulation.

Telegram et Meta critiqués pour leur manque de contrôle

Van ‘t Riet n’a pas seulement dirigé ses critiques vers Instagram et Facebook, mais aussi vers le canal de communication populaire Telegram. Il a indiqué que les groupes Telegram qui comptent des milliers d’adeptes semblent être activement impliqués dans la promotion de pratiques de jeu illégales.

«À en juger par le nombre d’adeptes, il s’agit d’un groupe Telegram populaire. Et il semble que son ami Jack s’amuse beaucoup. »

Vincent van t riet

Ses critiques visent principalement Meta, la société mère de Facebook et d’Instagram. M. Van’t Riet estime qu’il est incompréhensible qu’un géant de la technologie comme Meta autorise de telles publicités.

«Il est incompréhensible que Meta continue d’autoriser ce type de publicités. Il semble que personne ne soit en mesure de faire entendre raison à Meta. »

Appel à l’action contre les pratiques de jeu illégales

M. van ‘t Riet plaide en faveur d’un contrôle et d’une application plus stricts pour lutter contre ces pratiques illégales. Selon lui, il est important que les plateformes de médias sociaux prennent leurs responsabilités et empêchent les utilisateurs d’être exposés à des contenus préjudiciables. 

Il appelle également à une plus grande sensibilisation des utilisateurs aux risques liés aux jeux d’argent illégaux et aux matchs truqués.

 | 

Dans le monde de Gambling Club, Ron est un journaliste dévoué spécialisé dans l'actualité des casinos aux Pays-Bas. Il allie son regard aiguisé sur l’industrie du jeu vidéo à une passion profonde pour le sport.

Grâce à sa nature curieuse et son souci du détail, Ron se concentre sur la description des tendances et des transformations au sein de l'industrie des casinos néerlandaise, intégrant parfaitement son expertise sportive.

Fort d’années d’expérience dans le journalisme, allant du reportage local aux projets d’enquête à grande échelle, il propose à ses lecteurs des analyses nuancées et approfondies. Il révèle ainsi les fascinantes intersections entre le jeu et le sport.

Recommandé

Le gouvernement néerlandais s’est effondré : Quelles sont les implications pour la politique des jeux ?

Le parti politique néerlandais PVV s’est retiré de la coalition. Le leader du PVV, Geert Wilders, reçoit immédiatement une vague de critiques. 

BetMGM critiqué pour campagne avec jeune athlète

Le 2 juin 2025, la Kansspelautoriteit (Ksa), autorité néerlandaise de régulation des jeux d’argent, a émis un avertissement officiel à l’encontre de BetMGM. En cause : une publicité diffusée sur un site d’information réputé, mettant en scène Lamine Yamal, jeune prodige du football âgé de 17 ans.

Influenceurs sous surveillance : la fin de l’impunité ?

À partir du 16 juin 2025, le Commissariaat voor de Media (CvdM) des Pays-Bas étendra son contrôle à un plus grand nombre d’influenceurs. Jusqu’à présent, seuls ceux ayant plus de 500 000 abonnés étaient concernés. Désormais, tout créateur de contenu actif sur YouTube, Instagram ou TikTok, ayant publié au moins 24 vidéos rémunérées au cours des 12 derniers mois et inscrit à la Chambre de commerce, sera soumis à cette surveillance renforcée.