Gambling club casino news nieuws evolution

Evolution supprime 1000 emplois en Géorgie suite à une grève prolongée

Evolution, l’un des principaux acteurs du marché des casinos en ligne, a annoncé la suppression de 1000 emplois en Géorgie. Cette décision drastique fait suite à une grève prolongée qui a paralysé les opérations de l’entreprise et érodé la confiance de ses clients.

Grèves depuis mi-juillet

La grève débutée mi-juillet chez Evolution en Géorgie ne s’est pas déclenchée du jour au lendemain. Elle est le fruit d’un mécontentement croissant au sein de l’entreprise, alimenté par des années de tensions autour des conditions de travail.

Les raisons de la grève sont multiples et liées à des problèmes de fond concernant les conditions de travail au sein de l’entreprise. Les employés dénoncent notamment :

  • Des salaires jugés insuffisants au regard du coût de la vie en Géorgie et du niveau de stress lié aux métiers de croupier en direct.
  • Des horaires de travail irréguliers et des pauses insuffisantes, impactant négativement la santé physique et mentale des employés.
  • Un manque de reconnaissance de la part de la direction et un sentiment d’être considérés comme de simples exécutants.

Après plusieurs tentatives infructueuses de négociation avec la direction, les employés ont décidé de passer à la vitesse supérieure. Le mouvement de grève a rapidement gagné en ampleur, paralysant une partie importante des opérations d’Evolution.

La situation s’est encore tendue lorsque les grévistes ont bloqué les accès aux bâtiments de l’entreprise à Tbilissi, empêchant ainsi de nombreux employés de travailler et entraînant la fermeture de plusieurs studios. 

Ces actions ont eu des répercussions importantes sur l’activité d’Evolution. Elles ont gravement compromis la capacité de l’entreprise à honorer ses engagements envers ses clients. Les clients quant à eux se sont montrés de plus en plus mécontents face aux interruptions de service. 

Conflit social aux conséquences lourdes

Malgré les appels au dialogue de la part des syndicats, Evolution a maintenu une position ferme. L’entreprise a condamné les actions des grévistes, les qualifiant d’illégales et de préjudiciables à l’activité. La suppression de 1000 emplois et le transfert de nombreuses tables de jeu vers d’autres studios à travers le monde sont les premières conséquences des mesures drastiques prises par l’entreprise pour assurer sa pérennité.

Dans un communiqué, Evolution a déclaré :

« Nous avons toujours fait de notre mieux pour créer un environnement de travail positif et respectueux pour nos employés, avec des salaires justes et des opportunités de développement. Il y a des choses que nous aurions pu faire mieux, et nous nous engageons à continuer à travailler pour améliorer la situation. C’est avec un profond regret que les actions d’un petit nombre d’individus entraînent de telles conséquences pour tant de personnes. »

Cependant, l’entreprise a également souligné que les licenciements étaient une mesure nécessaire pour assurer la survie de ses activités en Géorgie. 

« Cette décision regrettable n’a pas été prise à la légère, c’est une conséquence directe des actions illégales du syndicat et de leur impact négatif sur les opérations d’Evolution en Géorgie, ainsi que sur la perception que nos clients ont de la Géorgie. »

Evolution a déjà prévenu les travailleurs que d’autres réductions d’effectifs pourraient être envisagées si la situation ne s’améliore pas.

La réaction d’Evolution a été vivement critiquée sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes accusant l’entreprise de ne pas avoir su gérer la situation et de privilégier ses intérêts financiers au détriment du bien-être de ses employés.

Pour Evolution, le défi est désormais de reconstruire sa réputation et de renouer le dialogue avec ses employés afin de prévenir de nouvelles crises sociales.

 | 

Recommandé

Après les joueurs Néerlandais, les joueurs Allemands réclament également remboursement aux casinos

Les joueurs Allemands réclame le remboursement de leur perte auprès des opérateurs illégaux. Le procès est porté devant la Cour de justice européenne.